Sujet : Le cas Alès Groupe

Question 1 :

Dans le cas Alès Groupe, on passe d’une logique entrepreneuriale à managériale. En effet, Patrick Alès, seul dirigeant qui détenait le pouvoir de décision et de direction, cède sa place à Mme Battigello sans perdre son rôle de président du groupe.

Les logiques entrepreneuriales apparaissent en la personne de Patrick Alès. On peut le qualifier d’entrepreneur car il est à l’origine de la fondation d’Alès Groupe. Comme tout entrepreneur, il a su innover en créant les premiers soins à base de plantes pour les cheveux, qui a rencontré un vif succès grâce à la marque Phythotérathrie. Mr Alès a pris des risques pour redresser le groupe en lançant la marque Phytoderme, qui n’a pas percé.

Voulant redonner un nouveau départ au groupe, il cède sa place à Mme Battigello, une opportunité de par son expérience d’ancienne entrepreneuse expérimentée dans les marchés internationaux. Cette réorganisation montre bien les logiques managériales.

En déléguant ses fonctions à Mme Battigello, elle devient donc manager détenant le pouvoir de direction et de gestion. Elle gère les ressources existantes pour maximiser le profit, notamment sur les marchés étrangers, et doit gérer les équipes afin d’atteindre les objectifs fixés.

Question 2 :

Mme Battigello est elle-même entrepreneuse, en ayant crée sa filiale d’Alès Groupe en Italie. Grâce à son dynamisme et sa motivation, elle fut la première salariée à faire du marketing, domaine qui la passionne. Sa grande capacité à innover lui a valu un franc succès, grâce au nouveau packaging d’un paquet de madeleine. Elle a su prendre des risques et saisir les opportunités en rejoignant Cosmétique Active et en poursuivant sur sa lancée avec la direction du marketing chez Vichy et en créant la marque Lierac. Au vu de son parcours, il en ressort des qualités propres à un entrepreneur telles que la prise de risque, la capacité à innover, le dynamisme, l’envie de créer de nouvelles activités et