chose
Bonjour, je m’appelle Jean-Baptiste Adamsberg, et je suis un commissaire de police qui a été transféré à paris, à la brigade des homicides. Donc, je vais vous raconter mon histoire. Juste pour vous prévenir, mon histoire est très étrange et irrégulière. Ça l’a tout commencé quand, un jour, une jeune femme est venue me porter une plainte qui disait qu’il y avait des étranges signes sur les portes des appartements de son immeuble. Les signes étaient le chiffre «4» retourné. Je n’avais aucune idée ce que c’était ou ce que ça signifiait. Peu à peu, ces étranges symboles se multipliaient à travers Paris dans les appartements. En même temps, il y avait un homme qui était un crieur (un crieur est quelqu’un qui reçoit des messages du publique, est qui les lie chaque jour dans une place publique (c’est un métier)) qui s’appelait Josse Le Guerne qui recevait des messages bizarres en ancien latin. Donc j’ai appelé mon ami Hervé Décambrais qui était un ancien prisonnier. Pour une raison quelconque, il pouvait déchiffrer les écritures anciennes, et pour cette raison, on le surnommait «le lettré». Il a regardé les messages, et les a identifiés comme manuscrits qui décrivaient différentes épidémies de peste. On a trouvé ceci très étrange, alors Hervé et Josse sont allés prévenir la police, et j’avais l’impression que les messages et les symboles avaient un lien. Donc, je suis allé voir un médiéviste ce qui est un spécialiste sur le moyen-âge, et il m’a dit que les «4» retournés était en réalité une croix qui était supposé éloigné la peste des maisons sur lesquels elle était tracé. Ceci m’a rendu très curieux, alors j’ai décidé de m’installer chez Josse pour suivre les messages de plus près. Quelques jours plus tard, un corps a été trouvé dans un appartement, et à côté, il y avait une enveloppe qui contenait des puces. C’était le même papier qui contenait les messages en latin. C’est après ça que moi et mon assistant Danglard ont débuté une