Colette, colin, colono, colaine
Colette, 1929
La célébration/ contemplation de la nature:
Célébration de la région= roman régionaliste => Jean Giono, “Colline” = Provence
Le jardin, cadre idéal, paradis perdu
→ l’idéalisation du cadre bucolique que constitue le jardin apparaît dans les descriptions qui en font un lieu fourmillant de vie, de jeunesse et de fraîcheur: “O géraniums, O digitales...
Celles-ci fusant des bois taillis, ceux-là en rampe allumés au long de la terrasse, c’est de votre reflet que ma …afficher plus de contenu…
La phrase, souvent exclamative, se divise en une multitude de groupes nominaux pour exprimer avec vivacité l'intensité d’un état intérieur; ou à l’inverse, s’allonge, se fait très ample, pour donner au texte un souffle puissant. “Oh! Aimable vie policée de nos jardins! Courtoisie, Aménité de potager à “fleuriste” et de nos bosquets à basse court! Quel mal jamais fut venu par dessus un espalier mitoyen, le long des faîtières en dalles plates cimentées de lichen et d’orpin brûlant, boulevard des chats et des chattes?
Des procédés …afficher plus de contenu…
C’est du côté de Sido que Colette penche quand elle entend se remémorer un autre personnage de son enfance: elle est à l’origine de la démarche poétique qui conduit le livre.
→ “c’est aux récits de ma mère qu’il me faut remonter, quand il me prend, comme à tous ceux qui vieillissent, la hâte, le prurit de posséder les secrets d’un être à jamais dissous”
Sido, interprète de la