Victor Hugo c’est engagé dans de nombreux combats au cour de sa vie telle que la défense de la liberté d’expression et l’abolition de la peine de mort. Il défendait ses opinion et les faisaient partager de façon indirect en écrivant certaine de ses plus grandes œuvres.
L’un des premiers grands combats d’ordre politique de Victor Hugo sera de faire voter l’abolition de la peine de mort. En effet il est un fervent défenseur de l’abolitionnisme suite aux nombreux spectacles sanglant auxquels il a assisté devant la guillotine, il est indigné du fait que la société se permet de juger ainsi, de sang froid la vie d’un Homme. Pour exprimer son opinion il écrira « Le dernier jour d’un condamné » Dans ce roman, l’écrivain décide d’aborder un angle spéciale : son livre se présentera sous la forme d’un journal écrit par un condamné a mort et qui décrit durant ses dernières vingt quartes heures, les événements passés depuis son procès jusqu’au moment de son exécution, c'est-à-dire environ six semaine. C’est grâce a un de ses amis que se livre pourras voir le jour. Lors de sa publication, il est fortement critiquer, certaines personnes disent de se livre qu’il est inutile et qu’il n’est que le récit d’une lent et longue agonie raconté pendant trois cent pages. Victor Hugo qui sera touché par ses critique décide de les parodiées en écrivant la préface du roman.il y’auras en tout trois préfaces connut du roman, dans la premières édition, il publie le livre sans aucun nom d’auteur, il fait se choix pour que le livre sois « prit » comme le réel journal d’un condamné à mort, pour la troisième édition, il écrira une préface de façon parodique qu’il met dans la bouche de différents bourgeois caricaturés. Mais la préface la plus connue et certainement la mieux écrite, est celle qui seras écrite pour la dernière édition du roman en 1832. Grace a la publication de se roman qui dénonce fortement la peine de mort Victor Hugo pense pouvoir faire réfléchir le lecteur et