Avant la crise des années 1930, on pouvait remarquer une valorisation de la gestion des finances publiques ayant pour objectif le financement des services publiques. On doutait alors de l'influence du volume des dépenses de l'état sur l'activité économique du pays. Or depuis quelques années, un économiste a appuyé l'impact d'une politique budgétaire sur l'activité économique d'un pays. La théorie de Keynes a donc suscité des changements de politiques conjoncturelles au sein des gouvernements. C'est pourquoi nous verrons en quoi les mesures prises par les politiques influent sur les bilans économique. Certes une politiques budgétaire de relance semble être efficace. Néanmoins cette dernière a-t-elle des limites ? Pour répondre a notre problématique, nous étudierons dans une première partie la politique de relance proposée par Keynes et dans une seconde partie, nous verrons la politique de rigueur.

Les nombreuses crise économiques qui ont frappés durant ces dernières décennies ont amenés les économistes a se pencher sur les facteurs pouvant relever l'économie, la protéger et la renforcer. Les investissements publiques ont depuis peu montré leur importance dans le niveau économique du pays. Keynes a insisté sur ce point. On constate que les dépenses publiques ont tendances a augmenter si la croissance est ralentie. Keynes insiste donc sur le fait que les dépenses publiques permettent une relance économique stable et efficace. Dans le document 1, on voit que « l'économie américaine s'est remise a détruire plus d'emplois qu'elle n'en créait ». Dans l'idée de Keynes, pour contrer ce problème il suffirait donc que l’État intervienne pour contrer la récession en ajoutant plus de dépenses publiques et réduire les prélèvements obligatoires ce qui, selon lui, relancerait l'activité économique offrant un pouvoir d'achat aux ménages et réduisant également le chômage. Or, ce processus se voit de plus en plus contesté, en effet en appliquant cela, la dette publique est