Commentaire littéraire : Victor Hugo le dernier jour d’un condamné

Le dernier jour d’un condamné ne compte pas moins de trois préfaces : Victor Hugo guide , d’une main de fer , un lecteur qui ne doit pas douter du sens de l’œuvre .La préface de 1832 dévoile sans aucune réserve son engagement contre la peine de mort .Dans l’extrait suivant ,l’auteur réfute l’un des arguments majeurs avancés par les défenseur de la peine de mort : selon eux , elle servirait d’exemple la société .Victor Hugo, en véritable orateur utilisant toutes les ressources de la rhétorique , construit une argumentation efficace. Nous verrons que cette argumentation rigoureuse et structurée s’appuie sur une rhétorique de la violence .Cette charge polémique est de plus ,renforcée par la vivacité du texte.

Victor Hugo présente dans cette préface, deux thèses. Une qu’il soutient ainsi qu’une qu’il réfute .En effet le texte commence par l’affirmation de la thèse qui récuse, ou il cherche a faire adhérer le lecteur a ceux qui défendent la peine de mort. Mais ‘auteur défend la thèse contraire, c’est-à-dire qu’il est contre la peine de mort. Nous pouvons alors découvrir un schéma thèse antithèse.
En effet l’antithèse détruit les idées que a peine de mort représente, cela permet e rendre la thèse plus convaincante . La thèse que Victor Hugo réfute se traduit alors, par la théorie l’exemple « ce qui a pour but de dissuader les futurs criminels » . Or la thèse qu’il soutient se traduit elle , par le fait que la société n’a pas le droit de vie ou de mort sur des individus , mais elle peut corriger pour l’améliorer . Ainsi selon lui « la prison a perpétuités suffirait » .
Pour fini l’écrivain démonte point par points les arguments de partisans de la peine de mort e les interpellant directement grâce au « vous ». Au départ la protection de la sociétés est mises en évidence par le fait qu’on ne peut s’échapper de prison, « faites mieux votre ronde » , voilà la réponse d’Hugo. Ensuite