St amant le fumeur analyse
(La même chose que pour petit 1. mais seulement pour la morphine)
Dépendance
Il existe une dépendance à la fois psychique et physique à la morphine qui se développe souvent rapidement après l’arrêt.
Ainsi l’arrêt brutal à la morphine d’un morphinomane se traduit par un manque physique et psychique. Ces symptômes de dépendance apparaissent généralement seulement après 8 à 12 heures qui suivent l’arrêt. En effet ce phénomène de servage est du a une accoutumance, une tolérance de l’organisme au médicament : le corps s’habitue et nécessite des dose de plus en plus grandes pour obtenir les mêmes effets.
. En effet ce phénomène de servage est du a une accoutumance, une tolérance de l’organisme au médicament : le corps s’habitue et nécessite des doses de plus en plus grandes pour obtenir les mêmes effets.
1/ Le phénomène de tolérance a la morphine.
La tolérance consiste à une atténuation progressive des effets de la drogue. L’usager doit alors augmenter les doses pour obtenir des effets similaires. Elle provoque une hausse de l’appétence a la drogue. La tolérance se traduit par un besoin de plus en plus impératif d’absorber des doses de plus en plus importantes. Un toxicomane est soumis à un cercle vicieux. La tolérance a la morphine s’installe rapidement pour éviter le syndrome de servage.
Les symptômes de manque liés a cette tolérance disparaissent cependant quelques jours après l’arrêt de consommation. Cete toerance.
2/ Le syndrome de sevrage a la morphine.
Le sevrage correspond au fait d’arrêter la prise de morphine lorsqu’une dépendance s’est installée. Cet arrêt peut conduire à des troubles comportementaux physiques et psychologiques appelés syndrome de sevrage. Le sevrage correspond ainsi a une privation de morphine dans le cas ou une dependance se serait installée.
Le syndrome de sevrage se fait ressentir environ 6 à 8 heures après la dernière prise. Le sevrage disparait généralement une semaine après