Le 17e et le 18e siècle, deux siècles où s’affrontent deux grands penseurs sur le sujet de la modernité. On parle ici de Renée Descartes (1596-1650) et de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), l’un confronté à l’absolutisme royal imposé par Louis XIII et Louis XIV, l’autre profitant d’une nouvelle liberté qu’apporte le Siècle des lumières. Le 17e siècle est surtout marqué par la guerre de Trente Ans qui se définit comme étant une guerre où les conflits religieux suivis par la politique déchirent l’Europe central. Ainsi on y trouve la Compagnie du Saint-Sacrement, qui elle, s’occupe de la bonne continuité du christianisme en assurant la répression de mœurs et en lavant les rues des protestants ou encore des juifs. Elle est comme une forme d’inquisition menée par un certain Nicolas Fouquet qui lui se fera mettre à mort par Louis XIV. Le roi, voulant que toute autorité repose sur ses épaules, réalise une chasse au faux noble et tente de réduire le nombre de personnes se permettant de vivre une religion hors des codes et des textes apportés par la Bible. Le 18e siècle, quant à lui, sera marqué par la fin du règne de Louis XIV, c’est-à-dire la Révolution française. On le surnomme le Siècle des lumières, ainsi apporté par les philosophes, la culture et les scientifiques. Il brillera par la réforme de la société en faisant progresser les connaissances, en encourageant les sciences et l’échange intellectuel et en s’opposant aux superstitions, à l’intolérance et aux sévices de l’église et de l’état. Ainsi je vous montrerai comment c’est deux philosophes sont devenus de grand homme à nos jours.
Influencé par la méthode du doute du théologien Pierre Charron (1541-1603), qui lui, s’était démarqué de la métaphysique qu’il trouvait trop spéculative, Descartes discréditera la scolastique pour son manque d’observation. Selon lui, nous trainons depuis trop longtemps et l'on parle ici de siècle, de faux savoirs. Nous ne faisions plus la différence entre la fois et ce qui s’avère