COMPTE-RENDU SUR LE COMPORTEMENT D’AIDE « Pour Allport (1954) la psychologie social tend à comprendre et à expliquer comment les sentiments, les pensées, les comportements moteurs des êtres humains sont influencés par un autrui réel, imaginaire, ou implicite. ». Donc il apparaît que l'individu en groupe ou dans une société, perd une plus ou moins grande partie de son autonomie de pensée. Il a alors tendance à se rallier à la pensée et au comportement du groupe ou de la masse, et ainsi à se comporter différemment de ce qu'il ferait s'il était isolé. Ringelmann décrit cela comme « la paresse social ». De ce faite, Darley et Latané ont émis l’hypothèse que des personnes dans une foule n’iront pas aidées une personne ayant besoin d’aide parce qu'ils étaient justement conscients que d’autres personnes assistaient à la même situation. Ceci est l’Effet témoin. Cela montre l’importance des facteurs situationnels sur un comportement. On peut aussi parler de dilution de responsabilité. Mais d’autre facteur peuvent influencés l’aide à autrui, comme la formation d’impression. Elle serait « on line » et se porterais sur différent critères, comme l’apparence par exemple. Ainsi une personne bien habillée serait jugée plus enclin à être aidée qu’un personne avec une apparence négligée. Nous nous sommes donc penchés, pour cette observation, sur le comportement d’aide envers autrui. Voyant l’effet de la présence ou non d’un groupe et de l’impression, bonne ou mauvais, d’une personne sur le comportement.
Nous avons décidés de prendre comme hypothèse générale :
« La dilution des responsabilités est moins important face à une personne qui donne une impression positive » Ainsi pour vérifier notre hypothèse nous avons fait une observation où nous avons pris comme :
- variables dépendantes : 1- le comportement d’aide (oui ou non) 2- le comportement non verbal (cf tableau ci-dessous)