En 1911 la France compte 6 millions d’ouvriers, c’est la première année ou les ouvriers dépassent les agricoles. Ils sont 29,9%. Le partage entre ouvriers et paysans et entre petits patrons de l’industrie s’avère bien flous. On a la bigarrure. Il n’y a peu de choses en commun entre l’ouvrier et le tisserand sinon une condition ouvrière. Mais début 20ème siècle, ce travail ce salaire et cette dépendance se transforme sans s’améliorer. On a une transformation qui nous permet de montrer a quel point il s’arrache a un malheur social. I. Le développement industriel et la rationalisation du travail.

==>La diversification de ‘appareil productif : les 2 vagues d’industrialisation ont bouleversé l’économie française. Après 1880 l’électricité concourt à une industrialisation accélérée comme dans la Morianges etc. Dans le sillage de la Belle époque, on a un décollage économique avec des taux de croissance record et une accélération de cette croissance dans le Nord-est du pays mais qui est parallèle a toute la partie méridionale et occidentale du pays. A l est des pôles puissants, comme le pole parisien, lyonnais, le pays de Montbéliard et Marseille. A l’Ouest l’industrie est limitée à quelques villes comme dans la région du Tarn ou encore la chaussure a fougères ou la porcelaine de Limoges.
1er type : les villes ou bassins industriels les districts industriels ou encore territoires manufacturés.
Dans ces bassins houillers industriels, on a deux cas de figures : tantôt domine un type d’activités comme c’est le cas de la lorraine ou de la Saône et Loire avec la mine et la sidérurgique associés, ou encore les bonneteries de Troyes. 2eme cas, on a une triade dans le nord, Mine, sidérurgie et textile dans le Nord. On a l’armement, la passementerie notamment. Dans ces bassins industriels on a une association entre travail usinier et travail à domicile. A fougères on a 12 N000 salariés dans l’immédiat après guerre dont une bonne partie travaille à domicile l’hiver