Qu'il s'agisse d'un Essaie fantaisiste et ironique comme L'éloge de la folie d’Érasme d'un roman parodie d'épopée comme Gargantua de Rabelais ou d'une autobiographie des Essaie de Montaigne ces 3 textes pourtant de date différente porte la marque des valeurs humanistes tantôt le lecteur les déduit par opposition avec des personnages peints négativement car il l'ai boffaient.

Pour l'humaniste l'avis dont être marqué par la juste mesure et l'équilibre, ces valeurs prennent la forme du « bon sens » et de la sagesse. Chez Érasme qui présence négativement les « Princes » comme des personnes qui vouent un culte à la folie. Grangousier veut « réfréner » la convoitise et la cupidité, Montaigne critique la « pompe » (grandeur ) des cérémonies autour du Rois de France et déplore que certain sujet soit « plein et gorger de toute sorte de commodité » .

Le respect de l'autre découle de cette modération qui exclu tout abus en effet pour l'humaniste les homme même s'ils sont différents on droit au même égards:
Pour Érasme il faut « ne visé qu'au bien général », Gargantua n'humilie pas les vaincus mais veut les renvoyés « franc et libre comme avant »; « les sauvages » que Montaigne prend comme modèle considère tout être humain comme leur moitié. Ce respect amené à la solidarité et au partage. Vertu que les mauvais Rois oublient : Ceux d’Érasme pillent la fortune de leurs sujets « manière et Pichrocole veut soumettre sans pitié ses ennemies . Il en va de même chez Montaigne pour les riche insensible à leur moitier « décharner de fin et de pauvreté » (l.21). C'est ce qu'on appel l'humanité.

Ce partage concerne les richesses mais aussi le pouvoir. Ces 3 textes proposent une conception humaniste de l'exercice du pouvoir . Pour gouverner il s'agit d’être en pleine possession de sa raison et de sa maturité (le Roi Charles 9 est un enfant ainsi que le fils de Pochrocole) et d'avoir conscience de ses responsabilités: les Rois « Fou » laissent aux Dieux l'arrangement des