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Corrigé d'un extrait de l'extrait de l'extrait de l'

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SEQUENCE 3 : A LA DECOUVERTE DE L’AUTRE
SEANCE 2 : LA NATURE HUMAINE
Etude analytique de l’extrait Acte II, tableau 7 Extrait pp. 77-83 (l. 23-177)
Problématique
Comment ce débat met-il en valeur la question de la nature humaine ?
I. UN DEBAT AUX REGISTRES VARIES
a) Une discussion entre des personnages types
- Pop, le religieux
Il représente la question religieuse au cœur de ce débat sur la nature humaine. Il s’inquiète de la nature des tropis sous l’angle religieux qu’il représente : …afficher plus de contenu…

- Douglas, le journaliste et humaniste
Il représente l’humaniste qui se préoccupe de son prochain et ne comprend pas l’attitude des scientifiques. Ses propos et la modalité exclamative traduisent son indignation : « Bon sang, ils sont vivants ! ». Par ailleurs, pour lui, il y a urgence à traiter la question en utilisant la locution adverbiale « dès maintenant » mais son point de vue est tranché, car il rajoute « dans l’espèce humaine ».
- Sybil, la scientifique sans cœur
Son intérêt se porte davantage sur la découverte scientifique plutôt que sur les êtres vivants que peuvent représentés les tropis. Ce qui s’incarne par la question dédaigneuse et familière : qu’est-ce que ça peut nous fiche » ? Son attitude changera radicalement à la fin de …afficher plus de contenu…

En effet, le fait de posséder des savoir-faire n’est pas gage d’humanité car certains animaux en ont également. Ce raisonnement est ponctué par différents verbes qui apportent de nouveaux arguments de la part des scientifiques « savez-vous que… » ; « vous n’avez pas vu … ». Nous noterons l’importance de la conjonction de subordination « savez-vous que… que… que » qui se transforme en énumération pour mettre en valeur les différents exemples qui appuient l’argument. L’argument se trouve invalidé dès lors que Sybil emploie l’exemple excessif et absurde du cheval qui apprend à jouer du piano. Ainsi, il parait impossible de prendre l’argument de l’apprentissage pour montrer l’appartenance des tropis à l’espèce humaine.
b) Le problème religieux de la nature des

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