1.1
Le document 1 est un article de presse, édité dans le mensuel « Le Monde » en 2006. Ce document, écrit par Benoît Hopquin, est de type informatif. Il expose au lecteur, la vie de clandestins mineurs venant du Sénégal en bateau, envoyés par leurs familles aux Iles Canaries pour aller travailler. Seulement, les lois espagnoles interdisent les enfants mineurs de travailler. Aux Iles, ces jeunes se retrouvent à La Esperanza, à l’école du Hogar.
Tout d’abord, le document met en avant le travail des enfants, qui semble être monnaie courante au Sénégal. L’adolescence marque l’entré dans la vie active. Les enfants sont alors envoyés aux Iles Canaries par leur famille pour aller travailler.
De plus, ces enfants ont été privés de leur enfance. Afin de partir travailler, Ils sont déscolarisés dans leur pays, et finissent par perdre tout espoir sur un possible avenir. Avant de partir, Pape Omar se voyait footballeur, et aujourd’hui il n’y croit plus. C’est l’enfance volée qui est ici, mit en évidence.
Dans ce document, on ressent également la solitude des enfants. Ils sont laissés à eux même. Les parents ne les suivent pas lors de leur périple qui les conduit aux Iles Canaries. Le trajet Sénégal-Canaries est dangereux car il est long de 12 jours et se fait par bateau. Le trajet longe la côte africaine d’après la carte. Les enfants sont affamés car la nourriture manque. Ils ont peur. Ce sont des enfants auto responsables sans aucune protection parentale.
Ensuite, ces enfants, auto responsable, portent également la responsabilité de la famille a à peine 13 ans car ils doivent travailler afin de subvenir aux besoins de la famille. Une fois sur place, l’enfant reçoit parfois l’appel de ses parents et subit une pression sociale car la famille compte sur lui. C’est pourquoi ils sont pressés de travailler.
Pour finir, l’article aborde l’hébergement à l’école du Hogar, qui accueille les clandestins mineurs. Ce centre, ancienne maison de redressement, est plein, les