Cyrano de bergerac
Tout d’abord, Cyrano décrit certains hommes de lettres qu’il méprise pour leur manque de liberté et leur dépendance par rapport à leurs mécènes. Au vers 968, Cyrano s’exprime à son ami : « Et comme un lierre obscur qui circonvient un tronc. » Cyrano compare au moyen d’une métaphore, les écrivains au « Lierre » qui dans la nature utilise un mur droit et solide pour s’élever en hauteur. Dans ce cas-ci, le mur droit est représenté par le « tronc » qui est en réalité le mécène. Cyrano utilise également l’adjectif péjoratif « obscur » pour décrire la plante. Mais en réalité, il décrit les écrivains comme étant peu lumineux sans la présence des mécènes pour prendre de la hauteur dans la société. De plus, au vers 969, Cyrano dit, au Bret : « Et s’en fait un tuteur en lui léchant l’écorce » Cyrano critique les écrivains par l’utilisation du mot « tuteur » qui sert à soutenir les plantes faibles. Dans ce cas-ci, Cyrano juge que les hommes de lettres qui dépendent de leur mécène pour s’élever dans la haute société sont faibles. Puis, Cyrano dénonce également la soumission dont font preuve certains écrivains vis-à-vis leur mécène. Au vers 976, Cyrano dit au Bret : « Une peau/Qui plus vite, à l’endroit des genoux, devient sale ?» Dans cette partie, Cyrano critique au moyen une métaphore, les écrivains qui font ce que veulent leurs mécènes. Cyrano utilise l’image de la saleté qu’on récolte lorsqu’on se met à genou pour critiquer les écrivains qui s’agenouillent devant ceux qui les payent. De plus, au vers 978, il décrit certains écrivains qu’il ne voudrait pas être : « Exécuter des tours de souplesse dorsale ?...» Cyrano critique de cette façon certains écrivains qui font les bouffons pour divertir leurs mécènes. Pour Cyrano, la fortune et la gloire ne devraient pas être acquises en brimant sa liberté. Un écrivain ne devrait pas être soumis et dépendant d’un mécène.
Idées principales et secondaires. Conclusions de partie : *