Duault Marcelline Chasselay kyllien Développement de l’apprentissage moteur, La Marche Introduction du cadre théorique Il faut remonter entre 9 et 7 millions d’années pour percevoir la séparation du singe à l’homme. Il n’aura pas fallu 12 mois pour celui-ci à se redresser sur ses deux jambes mais bien 500.000 années. Il y a 3 500 000 ans c’est le début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli …afficher plus de contenu…

De 1 à 4 mois, le bébé possèdent des réflexes arachides « des réflexes de sa vie de fœtus », il tête, serre la main. Puis son corps va se tonifier, ce qui va lui permettre de bouger les jambes, tourner la tête. Il va découvrir le gout de ses doigts et va commencer à les téter. Lorsqu’il est allongé, il va rouler sur les côtés pour essayer d’aller sur le ventre ou le dos. Entre 4 à 8 mois il coordonne de mieux en mieux ses gestes, aime donner des coups de pied. Commence à se rouler sur sois même et réussi sans aide à tenir un positon assis en tenant son corps droit. Il découvre ses pieds, ses orteils, ses cheveux. Avec ses mains il pince les objets pour les porter à sa bouche. Réagit au son en …afficher plus de contenu…

Ainsi, le marcheur devrait parvenir à un contrôle posturo-moteur lui permettant ainsi de maîtriser l’équilibre et de se propulser. Pour pouvoir marcher debout, tout individu doit pouvoir supporter son poids, maintenir son équilibre et se propulser vers l’avant (Bril, 2000). Structuration cérébrale du sujetOn peut identifier des générateurs de rythme dans la moelle du point de vue de la physiologie de la perception et de l’action. Puisque celle-ci peuvent produire le pas, la course, le saut ce qui exige donc des synergies musculaires différentes. Tous cela est possible grâce à des réorganisations des réseaux neuronaux sous le contrôle du cerveau, un centre