Dans quelle mesure la littérature est-elle un bon moyen de défendre des idées
I- L'écriture engagée
Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits.
A- Les moralistes
Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules).
Prendre l'exemple d'une pièce et développer-le dans ce sens (L'Avare, L'École des femmes, Le Misanthrope...)
B- La lutte des Lumières
Philosophes des Lumières ont préparé la Révolution de 1789. Éduquer le lecteur, lui faire prendre conscience de la vérité.
* Un des grands combat des Lumières : l'esclavage. Chacun développe une forme de littérature pour lutter et dénoncer cela : Diderot fait parler le vieux Tahitien, Montesquieu parodie un texte de loi et Voltaire développe le conte philosophique. « C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ».
C- La littérature « miroir » de la société
Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales.
* Prenez un exemple dans votre corpus, culture... est développez-le. Cf. Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné). Cf. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail... sous le Second Empire. Rhinocéros => miroir, représentation de la montée du nazisme (ou de tout mouvement totalitaire). (Cf. aussi Matin brun de F. Pavloff).
%u2206) Les écrivains ont souvent lutté pour dénoncer les injustices ou le manque de liberté.
II- La parole de l'écrivain
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