Denis diderot, sur les femmes
Et décrites comme «imbéciles» montre que à cette époque, les femmes étaient considérés intellectuellement inférieures. L’intelligence n’était pas une qualité attribué aux femmes, elles apprenaient à être de bonnes mères de famille et à tenir un foyer. Ensuite, il y a un parallélisme avec l’expression «nulle sorte de vexation». Cette figure de style insiste sur les violences impunies, injustifiées exercées par les hommes à l’encontre des femmes. L’adverbe «impunément» (l.3) met l’accent sur le faite que les hommes peuvent violenter leurs femmes et n’ont pas a subir de conséquences par derrière. Ils ne sont pas punis par la loi. Au début du texte Diderot disait «les femmes» mais à partir de la ligne trois, il emploi ce nom au singulier, c’est pour montrer cette …afficher plus de contenu…
Les accumulations vont insister sur l’idée que la seule façon pour les femmes de se rebeller c’est l’adultère. Et cet acte de rébellion serai selon les hommes de l’époque une des raison pour lesquelles ils les maltraites leur femme.L’accumulation va donner plus de force a l’idée qu’il y a une supériorité des hommes par rapports aux femmes. Les figures d'opposition regroupent, dans un même énoncé, des idées contraires. La construction met en valeur les contradictions entre ces deux idées. Ici le parallélisme: «nul sorte de vexation» produit un effet d’opposition. Ici Diderot met en avant la contradiction évidente: les femmes sont violenter par les hommes sans raison valables mais quand eux ils ne sont pas punie pénalement. A travers le registre pathétique, Diderot va faire appel à la sensibilité du