Descartes et l'hom;m;e
Par
Victoria CHARLEBOIS
groupe 00012
Travail de philosophie
340-102-MQ
Présenté à
Ciriac Oloum
CÉGEP MARIE-VICTORIN
24 septembre 2015
Philosophe français du XVIIième siècle, René Descartes base sa philosophie sur le doute de la connaissance de soi et des choses. Les sens, les rêves, le malin-génie et les sciences ayant un rapport avec la matière sont des choses que remet en doute Descartes. À travers ses méditations, il engage un vocabulaire religieux afin d’exprimer son cheminement d’esprit dans la recherche de la vérité. René Descartes soutient que dans cette recherche de la vérité, l’esprit est plus facile à connaître que les choses ou le corps. Je suis d’avis que Descartes a raison et ce, pour plusieurs raisons. Une des ces raison est que l’esprit est plus facile à connaitre que le corps, car nous ne sommes pas certain que le corps existe. Aussi, l’esprit est à la base de toutes nos connaissances concernant le réel.
Premièrement, Descartes affirme qu’il doute sur l’existence du corps. En effet, René Descartes est capable d’affirmer après une multitude de questions qu’il est « une chose qui pense ». Il n’est pas un assemblage de membres, un vent, un souffle ou peu importe, car il a nié dans sa méditation précédente l’existence de ces choses. Il est donc incertain qu’il soit lui-même quelque chose, ce qui souligne l’importance de la pensée. Il n’existe pas, mais il pense. Qu’est-il alors? Il est une chose qui pense. Qu’est-ce qu’une chose qui pense ? C’est une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent. Lorsque Descartes affirme ça, il n’est pas encore certain que le corps existe. Il démontre alors en connaître plus sur l’esprit que sur le corps. Deuxièmement, l’exemple du morceau de cire appuie les arguments de Descartes quant à s’appuyer sur le réel et non le contraire. En effet, grâce à cet exemple, il