Devoir francais
Il y a 30 ans exactement que j’ai été victime d’un phénomène plus qu’étrange ! C’était le dernier jour d’école, le 1 juillet 1999, j’avais 16 ans. Pour fêter la fin des cours, nous nous sommes tous rendu au café du coin où nous avons bu un petit coup. Mes amis et moi, nous nous sommes installés sur la terrasse pour profiter du soleil. Le centre ville était plein de monde, ils venaient tous profiter du soleil et des premiers instants de vacances. J’étais assise à coté de ma meilleure amie Alice, sur une chaise longue, les lunettes de soleil sur le nez. Alice me racontait ses petites histoires de cœur qui finirent par me monter à la tête. Le soleil tapait sur mon visage, mes bras et mes jambes. Il n’était ni trop fort ni trop doux. Il était parfait ! Sa façon de caresser ma peau était si agréable, si chaleureuse que je finis par m’assoupir un moment. Un long moment. Ce n’est qu’une heure après que les copains eurent l’idée de me réveiller. Ils ne voulaient pas casser mon magnifique sommeil, avaient-ils dit, J’avais vraiment l’air bien ! Il était 21h30 lorsque je repris le chemin du retour. Je m’étais vraiment bien amusé, j’ai passé une soirée à ne rien faire, à rigoler, à boire (avec modération bien sûr), à profiter du bon temps et du début des douces et belles vacances qui m’attendaient. Je marchais, tranquillement, en direction du centre du village, où j’ai passé la plus grande partie de mon enfance. Il faisait noir mais malgré les hauts sapins, la lumière de la lune parvenait tout de même à éclairer ce petit bout de route. Le ciel était dégagé et toutes les étoiles du ciel apparaissaient comme de petites lumières blanches qui décoraient le bleu sombre du firmament. L’air était doux et chaud (un peu moins que tout à l’heure