Mon chère frère, Tu ne peux pas imaginer ce qui m'est arrivé lors de ma représentation au théâtre de Berlin il y a une semaine de cela. Comme tous les soirs, j'étais sereine avant d'entrer en scène. J'étais concentrée et pas très inquiète car je savais se qu'il fallait que je fasse. Je craignais tout de même de me faire suspecter à cause des rumeurs qui circulaient dans la ville à propos des Juifs. Quand je suis montée sur les planches de la scène,après quelques minutes,je fis quelque chose d'inhabituel. J'avais oublier de contrôler mon accents qui me trahissait si souvent et tout à coup,la majorité des spectateurs m'insultèrent,me traitèrent de juive et me reprochèrent ce que j'étais et l'image que je faisais circuler. J'étais désespérée par ce que j'entendais et je sentis la rage et la méfiance qu'Hitler avait réussi à mobiliser de part son statut dans ces personnes pourtant « normales »au départ. J'ai tenté de leur donnée la réplique mais s'était peine perdu,ils m'avaient déjà condamnée sans même que je puisse m'exprimer. Ils voulurent m'attraper,mais par chance,j'avais repéré les raccourcis et les issues possibles auparavant si cette situation avait à se produire. J'ai donc pris de l'avance sur mes pour-chasseurs,j'ai couru dans toute la ville et par miracle j'ai réussi à trouvé de quoi m'abriter chez une famille qui hébergeait déjà des juifs dans sa cave. J'étais épuisée par cette course folle à travers la ville et j'avais envie de faire sortir toutes les larmes de mon êtres maintenant pour être sûr de ne pas pleurer devant mes tirants ni les supplier de me garder en vie. Le lendemain,à l'aube, je suis allée à la gare qui se situait à un kilomètre de mon refuge pour pouvoir prendre le train reliant Berlin à Vienne en espérant que les Allemands ne seraient pas encore sur place. Mais en arrivant j'ai eu une mauvaise surprise en entendant les soldats discuter de leurs « Dieu » devant l'arrêt du train avec leur accent trop prononcé et leur tenu qui renvoyer