dissert
ZDZIEBLO
Un jour, nous sommes allez à une exposition d’œuvre d’art mes amis et moi. Ah j’oublier, je me prénomme Ugbur, prénom insignifiant qui, je me demande, comment est-il sorti de la tête de mes géniteurs. Revenons, nous somme donc allez à une exposition d’art. Attention avec un A, comme le soulignerai mon ami Théo.
Théo est un être avec un ego surdimensionné, un gars qui a la parlotte mais qui n’intéresse personne, finissant la plupart de ses phrases par un « C’est ça ! » rien de plus agaçant avec le ton snobe qui l’accompagne. De plus il ne fait pas manque de jugeote. Son art c’est tout à lui, tout lui plait même quand sa ne lui plait pas ! Mais je l’apprécierai mieux pour d’autres raisons.
Je me souviens devant se tableau où Jean, Théo et moi-même. Scrutions une croute, ou plutôt un « passage de la vie intemporelle » insignifiant me diriez-vous ? Où Théo s’exclamé devant nos visages fermés pour lui devant cette œuvre, ce tableau quoi.
Théo : « Mes voyons ! Voyons, crétins ! »
Jean : « Eh oh ! Je ne te permets pas ! C’est toi qui trouve un sens à ce tableau ! Laisse nous donc. »
Jean est mon plus vielle ami, un gars sans problème mais qui s’en attire très facilement, il ose que rarement parler, nous scrutant du regard comme le ferait un psychanalyste.
Theo : « Tu te prononce toi ? Ce n’est pas ce tableau ! Mais CE tableau ! Une œuvre qui s’ouvre au spectateur devant un sentiment compris et facilement à comprendre ! C’est SA ! »
Ugbur : « Allons, allons, calmez vous. Théo, tu attire les regardes, ne serait ce donc pas possible que l’on éprouve donc pas la même sensation de réaction ? En quoi, apprécie tu le travaille de cette homme ou de cette femme-animal ou qu’es ce que j’en sais ! Même son nom est insignifiant, ZD- ZDZILO, ZD-ZIEBLO ! »
Jean