La notion de révolte au travers des textes est apparu avec la mythologie grecque. Au fil du temps une définition va se créer. Au Xxème siècle Albert Camus va spécifier l'homme révolté celui qui exprime un « ras le bol » et qui dis non. L'écrivain peut au travers de ses ouvrages exprimé son mécontentement et sa révolte pour les transmettre au lecteur. Nous sommes amené à nous demander si la littérature doit nécessairement exprimer une forme de révolte. Nous verrons d'une part que la révolte est à la base de l'écriture puis d'autre part qu'elle a aussi d'autres but.

La révolte est à la base de l'écriture, en effet elle permet au auteurs de défendre des idées, ou dénoncer des actes mauvais, au travers de leur texte. Ils peuvent exprimer leur indignation contre des actions commises comme le fait Victor Hugo dans un extrait de Melancholia où il dénonce le travail forcé des enfants :« Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! » et s'insurge contre cette pratique qui est inhumaine et abominable. Ce texte a pour but de faire prendre conscience au lecteur la gravité de la situation. La délation d'actes abominables , par les écrivains, permet de les exposer aux yeux de tous et de faire réfléchir les gens sur ces cruautés . Un livre a une portée universelle et intemporelle toute les personne peuvent le lire et comprendre le texte, l'idée principale que l'auteur a voulu transmettre. Au travers des mots les personnes importantes véhiculerons une idée qui pour eux est essentielle, par exemple Nelson Mandela qui parle de liberté dans son livre Long Walk to Freedom , pour lui « Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes, c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. ». Son livre est autobiographique , il rédige une plaidoirie en faveur de la liberté et de la reconnaissance des droits des noirs en Afrique du Sud. De plus, la littérature offre une variété de formes qui, en permettant de manier l’implicite ou l’explicite,