Suis-je ce que j’ai conscience d’être?

L’un des sens du mot conscience est celui de la connaissance de soi, être accompagné du savoir. Ici il s’agit de la conscience psychologique, la conscience de soi. La conscience de soi est l’intuition qu’à l’esprit de ses états et de ses actes. Le but est donc d’observer son moi intérieur en vue de se connaître.
Le “Je” ici est a prendre au sens général. Le probléme est de savoir si mon être correspond au sens que je donne à la conscience. Suis-je transparent à moi-même?
Ai-je une conscience complète de ce que je suis? Le probléme pose améne a trouvé la vérité sur l’introspection et la recherche de soi.
Cette question constitue-t-elle une réelle connaissance de soi? Cette image que j’ai de moi est-elle vraie ou est-ce celle que les autres me renvoie?

Apprendre a ce connaître c’est chercher une identité. Voilà pourquoi on peut évoquer ce qu’on est mais aussi ce dont on a conscience d’être. Voilà pourquoi la certitude de notre existence nous est donné par la conscience, celle-ci est en fait le miroir de la pensée, le fait de penser soi-même reviens a se contempler intérieurement en se mettant a distance de soi-même. La conscience permet un dédoublement de soi par lequel nous pensons. Cette notions s’apparente à celle de l’âme. La conscience deviens alors un lieu de vie intérieure dans lequel l’homme se penserait. Hegel évoque alors ici la notion de “double existence”. En effet, non seulement on existe mais on se voit exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par le miroir qu’est la conscience.
Ce qui est propre a l’homme c’est également le fait d’être un être pensant et donc qu’il a conscience de sa pensée. Ici Descartes dit « Je suis un être pensant dont toute la nature est d’exister ». Ici il cherche a montré que la conscience qui accompagne nos pensées nous livre du même coup notre propre existence : dés lors que nous avons conscience de nous même. « Je pense » et « Je suis » se confondent