dissert philo Etre heureux par définition, s’assimile à la quête du bonheur. Le bonheur, un état basé sur la longévité, un bon présage qui se perpétue au fils du temps, renvoie cependant à des enjeux individuels, collectifs, moraux, culturels et politiques. Nos actions, nos interventions peuvent modifier mais aussi changer la condition du bonheur. Celui-ci se dévoile tel qu’un tout absolu présenté comme un idéal durable avec un maximum de satisfaction mais aussi comme un bonheur réel, accessible …afficher plus de contenu…

Les conséquences que les autres ont sur nous jouent et entreprennent une part de notre bonheur. Par exemple, si chaque jour qui passe nous recevons des injures ainsi que des réflexions négatives à l’égard de notre personne, nous ne seront pas heureux car l’attitude néfaste de ces dernières provoquée par les autres aura des conséquences négatives sur la perception de notre propre bonheur. Ainsi le bonheur est condamné à être guidé par autrui et il ne dépendra donc pas de nous d’être heureux. Même si la volonté de recherche son bonheur est une cause souhaitée par nos personnes mêmes, les actions et les paroles entreprissent par le monde extérieur qui nous entoure, agit en …afficher plus de contenu…

Mener une vie agréable et confortable s’accorde ainsi aux biens matériels qui nous entourent. De plus, le bonheur apparaît comme lié au hasard d’abord par son étymologie : “heur” qui se rattache à la chance. Etre heureux signifie en effet, ne manquer de rien.
Or, un tel état de satisfaction totale semble difficile, impossible à atteindre. A peine avons-nous satisfait un désir qu’un autre apparaît. Le désir ne semble pas être quelque chose que l’on puisse

maîtriser mais une force qui nous domine en continu. Le plaisir, cette décharge ponctuelle éprouvée lorsqu’un désir est satisfait ne suffit pas à faire notre bonheur, qui lui est durable.