Dissertation sur le pompid

4339 mots 18 pages
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Il semble même avoir une méfiance vis-à-vis de la beauté, comme s’il n’était pas légitime à écrire quelque chose de “beau”, d’esthétique. Tout au long du poème, nous retrouvons un champ lexical de la souffrance, du mal-être, avec des mots tels que “cancer”, défunts”, “dégoût”, “noyé”, “néant”, “souffrir”, “vide”… afin de mettre en lumière une sorte de nullité par laquelle il se sent envahi. Pour cela, Laforgue ne cherche pas à élaborer une poésie complexe, mais opte au contraire pour la structure la plus simple et la plus classique du poème, avec des alexandrins et des rimes suivies. Cette démarche démontre une volonté de sa part de mettre en adéquation la forme de son poème et son état d’esprit au moment où il l’écrit : …afficher plus de contenu…

En effet, “aimer, être aimé” rappelle le rythme cardiaque. De plus, ces trois derniers mots contiennent à eux seuls tout l’enjeu du poème, qui pourrait en réalité se résumer à ce dernier vers. La coupure plus courte donne le sentiment de quelque chose de plus direct, qui ne tourne plus “autour du pot”. Nous pouvons nous demander si ces derniers mots sont une lueur d’espoir, ou bien un rappel de l’infaisabilité de ses désirs, qui sont condamnés à ne rester que désirs. Nous retrouvons une sorte de mise en abyme lorsque Laforgue dit “mon Coeur, ayant ainsi déclamé”, ce qu’il déclamait étant en réalité le poème que nous venons de lire. Cela rappelle l’idée selon laquelle tout le poème n’était en réalité qu’un cri du coeur, de l’instant, qui peut-être ne prévaudra plus quelques minutes plus tard. Tout semble reposer sur une ambiguïté, un double sens. Nous avons débuté cette

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