La panique ne doit pas masquer( dissimuler) les vrais observation du report. Patrick Butler dit , à la suite de report de BMJ ( British Medical Journey ) on observe l’insatisfaction de travail parmi les médecins généralistes, ce que peut conduire à la prophétie de malheur (_doom-mongering__)_ dans l’avenir . Selon les études de BMJ publiés aujourd’hui, en cause d’insatisfaction de leur travail chaque cinquième médecin généraliste trouve fortement probable de quitter le soin direct de patient dans cinq ans qui viennet. Les observations ontfait penser sur l’avenir désastreux par les médecins activistes . On va poser la question ce que on peut faire et si la crise est vraiment importante. 22 % de médecin de famille disant en 2001 d’être prêts de raccrocher leurs stéthoscopes en 2001 (contre 14% en 1998 ) représentent une proportion frappante, were they to quit, peut justifier une catastrophe de NSH estimé par BMA( British Medical Association). Cependant, c’est faut à assumer que la profession en entier se trouve au bord de dépression ( crise nerveuse ). C’est évidant qu’il y a des problèmes, mais l’enquête montre qu’il n’y a pas que malaise globale. L’envie d’arrêter peut être lié avec l’âge et l’origine ethnique . Mais pas tout les GPs veulent partir, cependant sous pression de rester un médecin, âpres tout, c’est toujours une carrière assuré ( stable), bien payé et bien respecté. Les observation d’étude de BMJ ne sont pas tellement nouvelles, ils sont à peut prés compatibles avec d’étude de BMJ en octobre de 2001, il avait observé que 24,7 % de GPs souhaite de quitter la médecine général en cinq ans, pendant que 48% espèrent partir en retraite avant l’âge de 60 ans. Dans les deux études les raisons d’envie de partir sont similaires- la diminution observé de satisfaction de travail est évoqué généralement par le surcharge croissant et par les longues heures de travail et par conséquence l’apparition de sentiment de stress, épuisement, fatigueet basse de