dom juan eloge du tabac
Molière était un auteur de nombreuse pièces de théâtre du XVIIe siècle et fait parti des représentants du classicisme, qui caractérise la clarté, la morale, ou encore la raison. Dom Juan, est joué pour la première fois en 1665, connaît un réel succès . Dans ce commentaire, nous allons étudier la première réplique du valet, et découvrir que la scène 1 de l'acte premier est une scène d’exposition, mais aussi une scène ou la philosophie est mise en valeur de manière ridicule.
La scène commence par un éloge du tabac. Le discours argumentatif de Sganarelle est réfléchit et référencié par la philosophie et en particulier Aristote. Il nous propose un discours construit et résonné avec des arguments clairs. Cependant, ses paroles sont fausses et ridicules, c'est que ce nous allons découvrir dans cette première partie. Cette scène comporte un discours argumentatif, il est utilisé pour convaincre les spectateurs ou les personnages d'un fait, d'un jugement ou se vanter des mérites d’un produit. Il peut donc être utilisé pour changer le points de vue d'une personne et lui faire découvrir son opignon. Dans cette première scène, Sganarelle vante les mérites du tabac. Il emploie de nombreux arguments qui sont énumérés les uns a la suite des autres « il n'est rien d'égal au tabac, qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre.. » Ses arguments sont alors prouvés avec des references philosophiques (« Quoi sue puisse dire Aristote, et toute la philosophie ») Une argumentation croissante est utilisé. Sganarelle part du plus general exemple au plus precis (ex il n'est rien d'égal au tabac → il attend pas que les gens demandent, le souhait des gens..) Les verbes sont en majorité au présent de vérité général (« il n’est rien d’égal », « il réjouit »...)
Dans cette tirage, Sganarelle expose