Don juan
Tout d’abord, Sagnarelle nous décrit son maître. En ce sens, Sagnarelle nous trace un portrait de Don Juan. Effectivement, le champ lexical de la peinture comprenant les mots « ébauche», « portrait» et «pinceau ». (l.72-73) indique que Sagnarelle tente de faire un portrait de son maître. En plus, l’accumulation de mots tels que « … un enragé, un chien, un diable, un Turc,…. » (l.20-21) prouve que Sagnarelle a beaucoup de choses à dire sur Don Juan.
Ensuite, on remarque que le valet a une faible estime de Don Juan. En effet, la comparaison « Mon maître, un vrai pourceau d’Épicure …» (l.22-23) confirme que Sagnarelle compare son maître à un homme sans scrupule. De plus, l’hyperbole « … Don Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre …» (l.19-20) permet de déduire que le valet ose injurier son maître. On constate donc que le valet a une image péjorative de son maître. Sagnarelle dresse sans aucun doute, un portrait peu flatteur de Don Juan.
Troisièmement, Sagnarelle considère que son maître est un débauché. Don Juan n’accorde aucune valeur aux femmes. En ce sens, le champ lexical de femme constitué des mots … «maîtresse », «elle », «belles», «Dame», « demoiselle», «bourgeoise» et « paysanne», (l.25-29) atteste que Don Juan met toutes les femmes dans le même panier. Il ne respecte pas les classes sociales. En outre, la métonymie « … c’est un épouseur