Dossier marketing ipad
atouts | limites | • L’écran tactile en couleur. Dépourvu de clavier, l’iPad se résume à son écran tactile de 9,7 pouces (24,6 centimètres). • La rapidité. L’iPad est animé par le premier processeur conçu spécialement en interne par Apple, l’A4, cadencé à 1 GHz. Selon les premiers tests, la navigation dans les menus de la tablette et les animations sont parfaitement fluides. «Les pages Internet se chargent si vite que c’est difficile à croire», écrit le blogueur John Gruber, spécialiste d’Apple. • Un dérivé de l’iPhone. L’iPad utilise le même système d’exploitation que l’iPhone. Les 140.000 applications conçues pour l’un fonctionnent donc sur l’autre. Pour profiter pleinement de l’écran du nouvel appareil, plus large que celui du téléphone, les développeurs devront tout de même apporter quelques modifications à leur logiciel. En attendant, il est possible d’augmenter artificiellement leur taille.• Le prix. Alors qu’un tarif de 1.000 dollars avait été évoqué, l’iPad sera vendu à partir de 499 dollars pour la version WiFi de base, et 629 dollars avec de la 3G. «Le prix est très agressif, ce qui le positionne bien pour une adoption de masse», commente Brian Marshall, analyste chez Broadpoint Amtech | Le design. Les produits Apple sont souvent salués pour leur design. L’iPad fait exception. Le large contour de l’écran, conçu pour que les doigts ne touchent pas accidentellement l’écran tactile, est jugé beaucoup trop large par Gizmodo. Le bouton principal, indentique à celui de l’iPhone, ne serait pas non plus idéalement placé. L’écran, plus proche du format 4/3 que du 16/9, étonne également. Le correspondant du Guardian craint aussi que l’appareil soit trop fragile pour être utilisé à l’école. PCWorld le trouve un peu lourd pour être tenu d’une main.• Les mêmes limites que l’iPhone. L’iPad, pas plus que l’iPhone, ne permet de lire les vidéos et les animations en Flash sur Internet, regrette Fred Cavazza. Il