Dreyfus
L'affaire Dreyfus a pour origine une erreur judiciaire, sur fond d’espionnage et d'antisémitisme, dont la victime est le capitaine Alfred Dreyfus, Juif et alsacien d'origine, et qui pendant douze ans, de 1894 à 1906, a bouleversé la société française, allant jusqu'à remettre en cause la République.
En effet en 1894, Dreyfus a été déclaré coupable pour avoir vendu des documents militaires à l'Allemagne. Les Monarchistes, et les nationalistes d'extrême droite, ont tous souligné que l'affaire Dreyfus était la preuve que les républicains étaient des traîtres, qui n’étaient pas qualifié pour gouverner la France. En 1896, les enquêteurs républicains ont découvert la preuve que Dreyfus était l'innocente victime d'un complot visant à discréditer le gouvernement républicain. Réalisant que la vie de la République était en jeu, les républicains se sont ralliés à l'appui de Dreyfus. Émile Zola, l'auteur célèbre, dans son essai, "J'accuse", accuse l'armée de malhonnêteté et de chercher à détruire la République. Peu à peu, il a été reconnu que les documents militaires en question n'avaient pas été vendus par Dreyfus, mais par un officier monarchiste Ferdinand Walsin Esterházy.
En 1906, après une série de procès en révision qui ont maintenu la France dans la tourmente, Dreyfus est déclaré innocent. Il a été rétabli dans l'armée avec une promotion, et attribué la Légion d'Honneur.
En plus détailler l’affaire Dreyfus c’est dérouler comme ceci :
Le samedi 13 octobre 1894 le capitaine Dreyfus a était convoquer au ministère de la guerre pour l’inspection générale mais il fut conduit dans le bureau du commandant Du Paty qui lui fit écrire une lettre a sa place. Elle avait pour seul objectif de prouver que Dreyfus étais le traitre qui a vendu des documents aux allemands. Malheureusement pour Dreyfus il fut arrêté, maintenu durant plusieurs semaines dans une prison militaire.
Alfred Dreyfus est traduit devant le Conseil de guerre de Paris le 19