Droits animaux
Philosophie et rationalité
340-101-MQ
Doit-on empêcher les actions humaines causant des souffrances sur les animaux dont les aptitudes rationnelles et les comportements sociaux s’apparentent à ceux des êtres humains ?
Travail présenté à
Johanne Cauchon
Cégep Limoilou
Le 20 janvier 2010
Au printemps passé, dans les terres suédoises, une association s’est mise en branle contre l’élevage d’animaux visant l’exploitation de leur fourrure. Nommé Djurens Rätt, elle instaure en ligne une pétition de niveau international dépassant même les frontières suédoises. Par ailleurs, elle bénéficie de l'actuelle révision de la loi de protection des animaux, augmentant ainsi la pression sur l’état. L’objectif serait de recueillir 100 000 signatures à la fin mai, dont 20 000 venant de l’extérieur du pays. Le but étant que l'interdiction de l'élevage d'animaux pour leur fourrure soit inscrite à l'ordre du jour de la future loi. Une question s’impose donc, doit-on empêcher les actions humaines causant des souffrances sur les animaux, dont les aptitudes rationnelles et les comportements sociaux s’apparentent à ceux des êtres humains ? Soulignons l’importance du terme rationnel, par une définition courte et concises ; « En science, tout comme en philosophie, la démarche intellectuel (méthode), qui conduit à la vérité (résultat), est la rationalité ». Cette citation provient du document de notes de cours 420 dans le cadre du cours de philosophie et rationalité. Pour ma part, je suis persuadé que l’on doit bannir les actions humaines causant des souffrances sur les animaux dont les aptitudes rationnelles et les comportements sociaux s’apparentent à nous, les