DU MAZDEISME AU ZOROASTRISMEDU MAZDEISME AU ZOROASTRISME
Le Mazdéisme serait né en Perse avec les invasions indo Européennes. En effet entre 5000 et 8000 avant JC, des migrations successives venues du
Caucase, en lieu et place de l’actuelle Ukraine allant de l’ouest en Europe occidentale et baltique, dans l’est en Asie centrale en Iran principalement, en passant par le sud, l’Anatolie et jusqu’au nord de l’Inde.
A cette époque, les Indo européens installés dans le nord de l’Inde échangeant avec la population endogène pratiquaient le védisme, ancêtre …afficher plus de contenu…

Dire que le mal fondamentalement n’existe pas, le mal c’est l’absence de Dieu, c’est l’absence de la pensée juste. Le mal c’est l’absence du bien. Ce qui fait qu’il n’y a pas besoin de Divinité́ maléfique, en fait le mal on se le fait à soit même. Si une personne décide de ne pas pratiquer la pensée juste, c’est elle même qui se tourne vers le mal, elle crée le mal en refusant tout simplement la voie d’Ahura Mazda. De même si elle refuse de rester dans la sérénité́ elle donne naissance au conflit, à la violence, l’agressivité́, ces tares n’existes pas hors de lui, c’est tout simplement qu’il refuse d’utiliser ces forces immortelles.
Donc par nature Angra Mainyu, la pensée angoissante est en …afficher plus de contenu…

Ceux qui font les mauvais choix irons en enfers, mais, comme le mal n’existe pas, l’enfers n’existe pas non plus.
L’objectif est l’immortalité́ de l’Âme et l’accès au Garo Demana vous ai je dis et que l’esprit vive dans ce paradis des concepts, l’enfer n’est qu’un état transitoire, ce n’est pas un lieu de torture ou de malheur, l’enfer n’est qu’une étape qui sera forcément vaincu à la fin. J’ai envie de dire que l’enfer c’est toutes les étapes avant d’atteindre le Garo Demana.
Je ne sais pas si le Zoroastrisme fait mention de la metanspychose ou la théorie de la transmigration de l’Âme (plusieurs vies terrestres), j’ai lu de tout et leur contraire à ce sujet mais au vu de ses origines communes avec l’hindouisme, je serais enclin à le croire. Comme je n’ai pas pu savoir le