Déontologie de gestion
MADAMME JEANNE SIMARD
TRAVAIL FINALE
PAR
SÉBASTIEN RACINE
RESPONSABILITÉ LÉGALE ET DÉONTOLOGIE DE GESTION
2DRA104
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI
LE LUNDI 26 AVRIL 2010
Jusqu’à tout récemment, comme beaucoup d’autres j’en suis certain, je délaissais la section sur l’économie lorsque je feuilletais le journal. Cette réaction de ma part était due à ma profonde conviction que les économistes et leurs concepts étaient incompréhensibles et inintéressant. Cependant, suite à la lecture de seulement quelques pages, d’un texte de Joseph Stiglitz portant sur la mondialisation, ma façon de percevoir l’économie a complètement changée. C’est pourquoi, tout au long de ce texte je vous résumerai l’idée générale de cet auteur sur certains concepts de notre réalité nouvelle économique. Il sera question ici, des problèmes, accompagnés de lourdes conséquences, qu’entrainent la mise en applications d’une économie de mondialisation, ainsi que de ses succès et ses échec. Plus précisément des succès de la Chine et de l’Inde versus les échecs du reste du monde, entre autre la Russie et l’Amérique Latine. Je ne pourrai évidemment pas passer à coté de la vision du développement selon Stiglitz, qui d’ailleurs, a fait naître en moi un profond respect pour cet homme, ainsi que du rôle des marchés et de l’État dans celui-ci. Évidemment, je parlerai de la place de l’entreprise de même que de sa responsabilité sociale au sein de ce nouveau monde économique. Par ailleurs, je vous ferez part des conclusions de M. Stiglitz sur les moyens de faire fonctionner la mondialisation. Enfin, je vous donnerai mon opinion, aussi humble soit- elle, à savoir quelles seraient les institutions nationales (État de droit, démocratie) et mondiales (régulateurs ou gouvernement mondial) pour que les multinationales assument leur responsabilité sociale et agissent en bon citoyen corporatif dans les communautés où elles opèrent.