Edito facebook
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La jeune société américaine Facebook fait beaucoup parler d’elle depuis sa création en 2004. L’objectif de ce réseau social est partie d’une constatation simple de son fondateur, Mark Zuckerberg.
Jeune étudiant à Harvard, Monsieur Zuckerberg est également un passionné d’informatique. Il ne fait pas partie de cette classe d’étudiants « populaires » mais plutôt de ceux qui restent dans leur coin sans faire parler d’eux jusqu’au jour où la bête éclate. La bête Zuckerberg a commencé à faire parler d’elle lorsqu’elle a piraté le réseau informatique de Harvard pour se procurer les photographies des étudiants, qui, il faut l’avouer, ne mettaient personne en valeur. Avec un certain sarcasme la bête Zuckerberg créa Facemash qui était une sorte de plateforme internet sur laquelle nous retrouvions les photographies des étudiants et où il fallait les comparer à des animaux à partir d’une liste pré-établie. Ce fut le tome 1 de l’histoire Zuckerberg.
Dans le tome 2, nous retrouvons le même héro formant des alliances financières mais également ce que l’on pourrait qualifier d’alliance d’idée. Car c’est vrai, Facebook n’est pas issu du cerveau de notre bête des temps modernes. Il s’agit bien d’une création de deux étudiants (frères jumeaux) de l’école Harvard. Certes ils avaient une idée brillante mais ils n’avaient pas les compétences informatiques nécessaires à la création de ce projet. Dans ce tome 2, Zuckerberg, en véritable bête sanguinaire, s’appropria le concept et le développa dans son coin sans rien signer avec les deux frères jumeaux. Grâce à une autre alliance financière il a pu lancer ce projet et créer la société Facebook.
Zuckerberg est un génie de l’informatique, c’est certain. En revanche, comment développer des qualités humaines devant un écran d’ordinateur ?
C’est une notion qui a toujours échappé à la bête