En quoi la didascalie d'ouverture de fin de partie et les deux premiers monologues jouent-ils le rôle d'une scène d'exposition du théâtre classique?
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En quoi la didascalie d'ouverture de Fin de partie et les deux premiers monologues jouent-ils le rôle d'une scène d'exposition du théâtre classique? -présenter l'intrigue (situation de l'histoire)
-contexte spatio-temporelle
-décors de la pièce
-costumes des personnages
-personnages et leurs liens
Fin de partie est une pièce de théâtre écrite par Samuel Beckett, écrivain irlandais. Dans cette pièce, Beckett fige les personnages dans une frustration mentale et physique de plus en plus forte. Par conséquent, nous étudierons de quelle manière la didascalie d'ouverture ainsi que les deux premiers monologues jouent-ils le rôle d'une scène d'exposition au théâtre classique. Tout d'abord, nous présenterons l'intrigue, et le contexte spatio-temporelle, puis le décors de la pièce avec les costumes des personnages, enfin pour terminer, nous présenterons les personnages et leurs liens.
Pour commencer, nous présenterons l'intrigue, c'est-à-dire la situation de la histoire ainsi que le contexte spatio-temporelle. La situation de l'histoire tel qu'on peut l'observer, présente deux personnages, dans une pièce, qui semble s'affronter à coup de mots. Lors du monologue de Hamm, nous apprenons que les deux personnages semblent se trouver dans un refuge : « dans le refuge aussi ». Le personnage se trouve au centre de la pièce, Clov a ses côtés. En revanche, on ne sait pas combien de temps, ils sont la, ni combien de temps ils vont y resté, car le « ne plus » est un négation temporelle.
Puis, nous verrons le décors avec les costumes des personnages. Ce qui frappe le lecteur en premier, est la symétrie des éléments : « aux murs de droite et de gauche, vers le fond, deux petites fenêtres haut perchées, rideaux fermés » , « avant scène à droite » ; « avant scène à gauche » ; «deux poubelles ». C'est ainsi qu'on apprend que l'histoire se déroule dans l'atmosphère d'une pièce confinée : « intérieur sans meubles » ; « lumière grisâtre ». A la fin de la didascalie, on