Enfant de la rue
Ils sont cireurs, laveurs de pare-brise, vendeurs de cigarettes au détail ou autre. On les croise le plus souvent au carrefour des grandes avenues ou à la sortie des parkings, munis d’un chiffon sale ou d’un paquet de chewing-gum leur permettant de ne pas avoir à mendier directement. Une façon peut-être de ne pas se sentir totalement inutiles à la société. Essayer de les dénombrer, relève pratiquement de l’impossible. Il s’agit là d’une catégorie de la population, domiciliée nulle part, vivant jour et nuit dans la rue et qui, par définition, échappe à toute forme de recensement. I. Causes de ce phénomène En effet, l’indigence est le premier facteur qui pousse des enfants et des adolescents à fuir leurs familles pour se jeter dans les bras de la rue. Un autre facteur explique le phénomène des enfants des rues: l’échec scolaire. Qu’est-ce qui jette les enfants à la rue? Plusieurs raisons sont à l’origine de ces situations extrêmes où l’enfant se retrouve entièrement livré à lui-même sons logis, vivant d’expédients et voué de façon certaine à une petite délinquance d’abord, puis à des délits plus graves. II. Conséquences de ce phénomène Les conséquences en sont aussi nombreuses que destructrices. La première conséquence est la délinquance. La pédophilie est l’un des plus grands dangers qui menacent les enfants des rues. Ces derniers sont exploités sexuellement par les adultes. Les filles sont contraintes par des proxénètes et des entremetteurs sans scrupules à se prostituer. Les garçons se livrent à des vols ou mendient s’ils veulent vivre. Dans ces milieux, la drogue et l’alcool sont monnaie courante. Avec la recrudescence de vagabonds, le taux de criminalité augmente. Ainsi, un climat d’insécurité s’installe dans la société. III. Solution de ce phénoméne Il y a une multitude de solutions qui sont proposées. Plutôt que de se disperser il faudrait trouver un consensus. C’est-à-dire qu’il ne faut