Equerre Et Compas
VM et VVTTMMFF
Le travail sur l’équerre et le compas qui m’a été conféré est très important à mes yeux. En effet, ses deux symboles sont omniprésent dans le symbolisme maçonnique et éveillent de ce fait m’a curiosité et mon envie de comprendre.
Aussi je commencerai par analogie avec l’équerre, dans un second temps le compas et je finirai par la relation d’équilibre existante et nécessaire entre eux.
L’équerre :
Le mot équerre vient du latin exquadro issue de exquadrare (rendre carré), lequel est né esquire (carré), il s’agissait d’une pièce servant de support au traçage d’angles droits. Elle est devenue un instrument, un outil, de maçonnerie, de menuiserie, de charpenterie.. L’équerre est simple ou double, en forme de T ou de L, et alors généralement en métal, il désigne également non pas un outil mais une pièce servant à consolider des assemblages de charpente et de menuiserie.
Ainsi si la franc-maçonnerie spéculative a pour principe la construction d’un monde meilleur, chaque initié travail sa pierre brute (soi même) afin de la dégrossir et de pouvoir s’inscrire dans la construction de l’édifice.
L’équerre est donc la garante de la probité, elle guide les apprentis dans le dégrossissement de leurs pierre brute, car seuls des matériaux rectangulaires peuvent s’ajuster entre eux. En effet la solution de continuité est la condition indispensable à la cohésion de l’édifice. Mais la solidité de celui-ci dépend de la stricte horizontalité des assises qui contrôle le niveau. Quant à la construction en hauteur elle se stabilise à l’aide de la perpendiculaire qui assure qu’aucun mur ne penche ni d’un côté ni de l’autre.
Pour cela Il devient évident que L’équerre est un instrument primordial pour le néophyte que je suis. Elle dirige le dégrossissement de la pierre, autrement dit la formation de l’individu en vue de l’exact accomplissement de sa fonction humanitaire et sociale. Son maniement nécessite une constante remise en question de soi-même, de