Et si c'était vrai...
Première partie :
1. Lauren est une grande femme, avec de grands yeux, elle a une jolie bouche, un visage d’une douceur, soit tout le contraire de son comportement « il la décrivit grande, très grands yeux, jolie bouche, un visage d’une douceur en opposition totale avec son comportement, lui parla de ses longues mains qui dessinaient des mouvements gracieux. » (p.34). Elle a peu d’amis, car il faut qu’elle se rende très loin de chez elle pour aller chez eux, « elle avait accepté une invitation chez des amis, à Carmel. » (p.11) mais elle est très sociable, et a un bon jugement « Non, je suis lucide. » (p.68) elle se décrit comme pressée à cause de son travail « Lorsqu’on la rencontrait et on l’interrogeait sur son métier, elle répondait invariablement : «Pressée.» » (p.12). Elle est par contre insistante et elle ne s’arrête pas à se que l’autre lui dit, elle en veut toujours plus « Et tu n’es jamais revenu ici?… J’ai oublié que tu étais la réincarnation d’une mule. Parce que! » (p.142). Elle a déjà eu un amoureux durant quatre ans, il était cinéaste, durant ces quatre années, ils se sont séparés et ils ont repris plusieurs fois « Elle avait partagé quatre années de sa vie avec son cinéaste, quatre années d’une histoire décousue, recousue. » (p.78). Elle croit qu’une des qualités fondamentales pour vivre en amour avec une autre personne est la générosité « Je me dis qu’une des qualités fondamentales pour vivre est la générosité. » (p.78). Lorsqu’elle est fâchée, elle est très désagréable et elle le fait sentir « Arthur la héla sur u ton ironique. Elle était de toute évidence d’humeur maussade, et elle disparut d’un coup. De la chambre, Arthur entendit grommeler : «Et je ne peux même pas claquer une porte!» — Tu as un problème? cria-t-il. – Fiche-moi la paix! » (p.84), elle est aussi sensible « Tu pleures? – Je n’ai pas de larmes, comment veux-tu que je pleure? – Tu pleures! Qu’est-ce qui se passe? » (p.84) et lorsque les gens ne font pas