Honoré de Balzac

Eugénie Grandet

Le texte de l´ouvrage de Honoré de Balzac décrit le matin quand Charles est arrivé à la maison de Grandet. Toute le monde est avec Charles. L´auteur nous montre la situation que se change après l´entrée de père d´Eugénie. Il faut dire aussi que Monsieur Grandet est extrêmement avare.

Cette situation captivante evoque la scène théâtrale. En premier lieu, ce sont surtout les dialogues entre les personnages qui portent la teinte dramatique: «Que voulez-vous, mon neveau?...lui dit le bonhomme. Le sucre. Mettez du lait, répondit le maître de la maison...» Les gestes des personnages sont vraiment précis et on peut bien imaginer des états des personnages:«...chercha le sucre que Grandet avait déjà serré.» On y voit aussi, des parties narratives qui décrivent leurs attitudes assez detaillement: « Madame Grandet se dressa comme une biche effrayée.» ou «Ce fut une peur panique de laquelle Charles s´étonna, sans pouvoir se l´expliquer.»

L´atmosphère scénique augmente. D´abord, c´est l´arrivée de père qui cause le changement de l´action. Toutes les femmes ont peur:«...examina sa femme qui pâlit...», alors, elles savent ce qui va se passer. À ce moment là, le fait est relativement dramatique, enlaçant au silence qui signifie le peur et l´angoisse des femmes: « Il est impossible de se figurer l´intérêt profond que cette scène muette offrait à ces trois femmes...» Charles bien sucrait son café. Le sucre présente quelque chose très chère, c´est-à-dire le luxe. Le colère de père est évident. À l´opposé, on voit l´ignorance de Charles qui ne comprend pas absolument ce qui se passe. Il ne connaît pas monsieur Grandet ni leur vie:« Fête?... se dit Charles, incapable de soupçonner le régime et les moeurs de cette maison.» Finalement, c´est la situation comique.

Un épisode décesif exprime le révolution d´Éugenie contre son père: «Éugenie reprit la soucoupe au sucre que Grandet avait déjà serrée, et la mit sur la