Explication texte russell
La philosophie permettrait également de mettre fins aux idées préconçues, dictés par la docsa et réitérée par les personnes hautaines et dépendants, qui n’ont « jamais traverser le doute libérateur », qui n’ont jamais connus la liberté de se questionner, qui n’ont pas eu l’occasion de rompre leurs chaines, aveuglés et s’en satisfaisant En se posant des questions, l’ennuie ne peut pas se faire ressentir ; chaque objets, du plus complexe au plus dérisoire, est sujet à de nouvelles interrogations selon l’angle de perception du sujet. Russell annonce ici, une valeur qu’il considère comme la plus importante de sa manière de philosopher : la « grandeur des objets ». Comme dit précédemment, chaque objet est infiniment …afficher plus de contenu…
Ces même idées qui ferment les portes de l’interrogation arbitraire des questions irrésolues par l’esprit autonome, mais déjà posés et indiscutables par l’opinion commune. Russell résume ces pensées avec ces quelques mots : « les questions elles-mêmes, car ces questions […] diminuent cette assurance dogmatique qui ferme l’esprit à la spéculation ». La seule limite de la réflexion pour Russell relève du nombre d’objet ou de notions environnantes à questionner. Avec ces paramètres, nous comprenons que la potentielle élévation spirituelle dont un philosophe peut bénéficier est due à « la grandeur du monde que la philosophie contemple ». Plus le monde est grand, plus les réflexions pourront varier dans leurs contenus et plus l’esprit se démarquera. Russell ajoute une pointe de matérialisme dans son discours en affirmant