Partie 2 :L’enseignement bouddhiste Au Bouddha en refuge je vais, Au Dharma en refuge je vais, Au Sangha en refuge je vais. Après avoir prononcé ce texte, ils se voient remettre leurs robes et leurs bols avec lesquels il feront l’aumône de riz quotidien du lever du soleil à midi. L’après-midi est consacré à la méditation, l’étude et la contemplation. Les moines sont tenus de respecter l’éthique bouddhiste qui est basée sur le fait que les actions du corps, de la parole et de l’esprit ont des conséquences pour nous-mêmes, les autres et notre environnement.2 sortes d’actions se distinguent les actions dites « kusala »(saines, habiles ,favorables)et d’autres dites « akusala »(malsaines, malhabiles, défavorables).Les actions sont favorables ou défavorables selon l’état d’esprit de la personne. L’ensemble des actions bonnes ou mauvaises s’appelle le karma. Il y a donc des préceptes qui permettent de respecter cette éthique. Il y a les 5 préceptes : _s’efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants ni retirer la vie. _s’efforcer de ne pas prendre ce qui n’est pas donné. _s’efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte(ou plus généralement garder le contrôle de ses sens). _s’efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères. Il en existe plusieurs mais cela restent les plus connus. _L’impermanence :Tout est en eternel changement, rien n’est figé « Rien n’est constant si ce n’est le changement ». _L’insatisfaction : Du fait de l’impermanence des choses, rien de peut nous satisfaire de manière ultime ou définitive. La souffrance est donc l’obsession des bouddhistes. Leur but est de la faire disparaitre de leurs vies mais avant cela il faut que les adeptes admettent certaines vérités sur le sujet : La vérité de la souffrance : Toute vie implique la souffrance. La vérité sur l’origine de la souffance : elle repose dans le désir, les attachements. La vérité de la cessation de la souffrance : la fin de