Fabrice a waterloo
Introduction : Le XIXe siècle est le siècle des réalistes aussi Stendhal est considéré comme le précurseur de ce mouvement littéraire. Ainsi cet auteur qui se place souvent comme un écrivain à part entier s’inspire de l’Italie, pays qui lui inspire de nombreux roman tel que La Chartreuse de Parme. Dans l’extrait étudié le romancier nous dévoile le héro de son histoire, Fabrice Del Dongo qui désir se battre aux côtés de l’armée de Napoléon.
En quoi le Fabrice à Waterloo, est-il un récit réaliste ?
A. Un héros Face à la Bataille de Waterloo 1 un personnage désorienté
La dénomination de Fabrice « blanc-bec » (ligne 14) faite par le maréchal des logis est un terme péjoratif qui dénonce notre héros par son ignorance militaire. Ainsi l'expression « les habits rouges » est dépourvue de sens pour lui ce qui est révélateur de sa méconnaissance du conflit, comme nous le montre la ligne 6 « Fabrice ne comprenait pas ». De plus le personnage est désorienté par la langue, en effet le français n’est pas sa langue maternelle comme nous le montre a répétition du verbe « comprendre » en phrase négative « il n’y comprenait rien du tout » (ligne 34). Malgré la désorientation du héro face à la guerre, Fabrice est un personnage jeune et attachant.
2 un héros jeune et attachant
Les termes « fort humain » (ligne.10), « ne mît les pieds sur aucun » (ligne.11) « en regardant un malheureux » (ligne 12/13) renforce la compassion de Fabrice pour les blessés. Nous pouvons constater que l’hyperbole « toutes les peines du monde » (ligne.10) ou encore la phrase « ne faisait pas assez d'attention à son devoir de soldat » (ligne12/13) et l’expression « fort humain » (l.10) renforce l’humanité de Fabrice. Malgré le manque de capacité que Fabrice peut avoir en tant que soldat, il nous renvoie une image sympathique puisqu’il montre une véritable attention aux blessés. Ainsi la métaphore « perdu dans une admiration enfantine » (ligne 16) nous montre aussi