Faut-il s’abstenir de penser pour être heureux ?

1591 mots 7 pages
La pensée, définit par l’ensemble des phénomènes produits par l’action de l’esprit, renvoie à la connaissance ainsi qu’au manifestation de la conscience idées sentiments volonté. De part cette capacité sentimentale la pensée nous permet de vivre joies et plaisirs de l’amour. Ce plaisir participe à l’approche du souverain bien, comblement de tous nos désirs : le bonheur. Pourtant la pensée par ce même sentiment nous conduis à subir la douleur de la perte d’un proche à l’encontre de ce bien absolu. Faut-il alors s’abstenir de penser pour être heureux ? L’éradication de la pensée éviterait elle de connaître déplaisirs nous ramenant vers un bonheur plus certain ? La pensée ne serait elle pas source de plus grands plaisirs vers un plus grand bonheur ? Nous verrons dans un premier temps que la pensée semble impliquer des maux que son éradication pourrait éviter pour garantir le bonheur. Nous comprendrons par la suite que cette pensée est l’instigatrice de contentements supérieurs vers le bien absolu. Enfin nous étudierons le fait que la pensée est la source même du concept de bonheur ainsi que de ses caractéristiques propres à chacun.

Penser : à l’encontre du bonheur ?

La pensée parait s’opposer à notre quête de bonheur développant une nouvelle dimension de déplaisir. De plus elle est l’auteur de nos désirs contradictoires et infinis en nombre, contraire à l’assouvissement du bien absolu.

Les maux de la pensée.

- L’âme, siège de la pensée, constitue une nouvelle dimension dans laquelle le malheur et déplaisirs peuvent prendre place.
- L’homme est le seul être doté de la pensée. Cette capacité se définit par les manifestations de la conscience : idées, volontés et sentiments. Cette épaisseur peut traduire des sentiments allant à l’encontre du souverain bien : le bonheur.
- La tristesse, la frustration, la haine, la peur sont autant de sentiments générés par la pensée qui amènent le trouble, contestent un désir de

en relation

  • le bonheur désespérément
    1317 mots | 6 pages
  • journal de bord 2
    389 mots | 2 pages
  • Faut-il être inconscient pour être heureux ?
    989 mots | 4 pages
  • Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ?
    1491 mots | 6 pages
  • Partie II
    3718 mots | 15 pages
  • Faut-il être libre pour être heureux ?
    2016 mots | 9 pages
  • eco droit anlglais
    597 mots | 3 pages
  • Sdgdsfg
    275 mots | 2 pages
  • L'art imite-il la nature
    2743 mots | 11 pages
  • Le bonheur est-il un idéal égoiste ?
    1502 mots | 7 pages
  • Faut-il penser pour être heureux ?
    567 mots | 3 pages
  • « L’envie le véritable cancer de nos sociétés » avec albert camus
    1211 mots | 5 pages
  • Mes pensées sont elles miennes ?
    2500 mots | 10 pages
  • Explication de texte kant
    1816 mots | 8 pages
  • La censure au 17ème siècle
    1201 mots | 5 pages