Femmes et travail en france a la belle epoque
Dans L'Ouvrière publié en 1861, Jules Simon, homme politique de la IIIe République, écrit “La femme, devenue ouvirère, n’est plus une femme”. Par cette citation, Jules Simon restitue l’image véhiculée par la société de la fin du XIXe qui voit en l’ouvrière, une femme
“dénaturée”, hors de “son etat naturel”, c’est à dire hors du foyer, de la maison. Les liens entre femmes et travail, nous invite à nous interroger …afficher plus de contenu…
Toutefois, lorsqu’il est question du travail des femmes bourgeoises, celui-ci peut aussi s’orienter vers des activités militantes et/ou caritatives. Ainsi, on peut citer Marguerite
Witt Schlumberger fondatrice et présidente de l’Union française pour le Suffrage des femmes. Ou encore Marguerite Durand qui fut la fondatrice du journal féministe la Fronde, a employé druablment son argent et son temps dans l’amélioration de la condition des femmes. Ce journal fut le premier a etre conçu, entièrement redigé, administré, fabriqué et distribué par des femmes. De même, la suffragiste Hubertine Auclert s’est engagé …afficher plus de contenu…
Plusieurs familles bourgeoises élevaient également leurs filles dans l'idée de leur donner une indépendance, plus encore si le père de famille était de sensibilité