Le roman Le dimanche de Bouvines que j'ai pu lire a été écrit par G. Duby en 1973. L'édition choisie, elle, date du 2 février 2012. Ce roman fut donc réimprimé par l'éditeur Gallimard dans la collection Folio Histoire, à Malesherbes, dans le Loiret en France. L’œuvre comporte 373 pages. On peut qualifier cette œuvre de roman historique, mais c'est une œuvre un peu particulière puisqu'on a affaire à une histoire événementielle pourtant expliquée dans le temps long.

Annexes :
Avant-Propos : l'idée de G. Duby concernant cette œuvre
Cartes
Chronologie
Bibliographie
Autres documents (Chroniques, poèmes, chants, annales, théâtre)
Iconographie importante : - photographie de fresques murales
- photographie d'un heaume
- photographies d'un coffret de mariage
- sceaux
- miniatures
- vitrail
- couronne
- tableau
- vignettes
- numérisation d'un cahier d'écolier

Georges Duby, né le 7 octobre 1919 et décédé le 3 décembre 1996, était un historien français. Il travaille durant une vingtaine d'années dans différentes universités afin d'enseigner l'histoire du Moyen-Age. En 1970, à l'âge de 51 ans, il devient professeur au Collège de France. Puis, en 1974, il intègre l'Académie française des inscriptions et des belles-lettres. Il se rattache à L’École des Annales et finit par entrer dans le courant historiographique de la « Nouvelle histoire ». Il se penche davantage sur le temps long, afin d'étudier l'évolution des sociétés puisque se baser sur un seul événement était trop peu significatif. Pourtant dans Le dimanche de Bouvines, G. Duby parvient à introduire l’événement dans l'historiographie, c'est ainsi qu'il donne un renouveau a l’École des Annales, ainsi, on dit que G. Duby appartient à la deuxième génération des Annales. Il explique dans un entretien en février 1980 que l’événement permet aux historiens de faire la lumière sur des choses rarement évoquées. Et de par cet éclairage, les historiens peuvent retrouver d'autres données historiques