Nádia Rocha Gonfiantini Fiche de lecture. Laurence Gavarini, « Des groupes de parole avec adolescentes : à la recherche d’une parole « autre » », Cliopsy, n. 1, 2009, pp. 51-68. Laurence Gavarini Laurence Gavarini est docteur en sociologie de l’éducation et clinicienne d’orientation psychanalytique. Elle est aujourd’hui professeure émérite en sciences de l’éducation à l’Université Paris VIII et membre statutaire …afficher plus de contenu…

La plupart des groupes étaient mixte, à l’exception de deux, qui ont été répartis selon le sexe. Les séances duraient généralement 50 minutes et avaient lieu à différents moments de la journée scolaire. Pour chaque séance, les adolescents formaient, avec le mobilier des classes, un cercle de parole. Aucun adulte, à part les cliniciens, n’a participé aux séances.Les groupes étaient coanimés par deux cliniciens, ou par un clinicien et un étudiant en formation clinique,, qui pouvaient traitertraitaient les questions de recherche en fonction de la dynamique clinique de leursdes groupes. Les adultesIls se sont présentés aux adolescents en tant que chercheurs et et cliniciens et , leur ont donné des explications suront expliqué le projet dela recherche aux adolescents recherche et. Ils ont également énoncé les règles …afficher plus de contenu…

62). En deuxième lieu, les problématiques variaient selon la composition sexuée des binômes et des groupes. En troisième lieu, dans les groupes mixtes, il y a eu une variation de la prédominance de la parole des garçons ou des filles en raison de leurs proportions quantitatives dans le groupe. En quatrième lieu, les adolescents mettaient physiquement en scène une différence des sexes et des places (notamment d’après, par exemple, où ils s’asseyaient) dans le cercle). Enfin, ils interrogeaient verbalement les cliniciens, en leur questionnant, surentre autres, les raisons de leur intérêt pour eux. Ce faisant, ils interrogeaient, questionnant ainsi « à quel Autre, pris dans quelle configuration symbolique, ils s’adressaient » (p. 63). Comment by Waldir Lisboa Rocha: Acho que a questão da captura ficou pouco clara…