L’écologie en poèmes et en chansons …

* J’ai choisi ce poème car le poète essaie de sensibiliser le lecteur sur la protection de l’environnement en utilisant des propos péjoratifs comme dans les vers 2/3 et 5/6: « Usines fumantes aux vertes nausées Lendemains dépourvus d'atmosphère » ; « Goudrons liquides recouvrant les pâturages Je respire l'air opaque enfumé ».
Alarme
Tester le niveau nucléaire
Usines fumantes aux vertes nausées
Lendemains dépourvus d'atmosphère
Le compte à rebours de la vie est lancé

Goudrons liquides recouvrant les pâturages
Je respire l'air opaque enfumé
Manuscrits oubliés aux vieilles pages
L’homme est incapable de retenir les leçons du passé

Courons loin si le temps nous le permet
Cherchons ce refuge qui devance les glaciers
Ce rêve est, hélas, un quolibet
Je suis membre de ces humains qui n'ont rien respecté. Remords

* J’ai choisi ce poème parce qu’il est engagé écologiquement car l’auteur compare la forêt à la ville et qu’il utilise des thermes mélioratifs pour la forêt (« Pour pouvoir profiter au mieux De ces merveilles de la nature »v.10/11 ; « Au milieu d’une forêt déserte, À la fois pure et inerte »v.3/4) et des thermes péjoratifs pour la ville (« J’oublie la pollution urbaine »v.20 ; « Loin des puanteurs de la ville »v.6). Le poète nous fait comprendre que la nature n’existera plus dans le futur dans les vers 11 et 12 : « De ces merveilles de la nature Qui nous manqueront dans le futur. »
Poème écolo d'Adeline Neetesonne
Mes cheveux volent librement
Tandis que j’erre simplement
Au milieu d’une forêt déserte,
À la fois pure et inerte.

Alors je sens la chlorophylle,
Loin des puanteurs de la ville
Et j’écoute le chant des moineaux,
Des pics-verts et des passereaux.

Je ferme doucement les yeux
Pour pouvoir profiter au mieux
De ces merveilles de la nature
Qui nous manqueront dans le futur.

Aussi, pour ne pas y penser
Comme pour ne pas l’oublier,
Je lance mon cheval au galop