L’incroyable dépendance aux trous
Sciences Humaines
Présenté à
Sébastien Rodrigue
Par
Tristan Méthot
Groupe 41
Collège du Mont-Ste-Anne
15 Janvier 2014 Dans le cadre du cours de sciences humaines, nous devons débattre sur une question au choix portant sur les mines. Pour ma part, je répondrai à la question suivante. Les régions peuvent-elles survivre sans les mines? Je vous parlerais de la situation de quelques villes dont les mines sont une source de revenue principale pour la majorité de la population. Pour commencer, concernant la ruée vers l’or à Malartic, les habitants vivants aux alentours du gisement ont vu leur domicile être déplacé. Par contre un expert nous rassure «Le maire peut aussi se fier sur un coup de sonde effectué en février dernier auprès de 92% des résidents touchés par la relocalisation. Plus de 87% des répondants avaient alors jugé que la relocalisation pourrait être bénéfique pour eux »*(1) elles cumulent des centaines d’emplois chacune donc assurent une économie locale stable. «D’une part, on jubile devant les emplois créés, les retombées et l’effervescence économiques à venir.»*(2) de plus, toujours pour la mine de Malartic, les retombées à long terme sont absolument incroyables «La mine, c’est un levier économique dont nous allons [tous] bénéficier, poursuit monsieur Carpentier. Actuellement, il y a déjà 115 personnes qui travaillent localement. Pendant la construction, on parlera de 400 employés et, par la suite, entre 250 et 300 employés pour l’exploitation. C’est un projet de 400 à 450 millions.»*(3) du même fait, le maire affirme que les retombés nettes de ce projet iront jusqu’à 2,2 milliards de dollars sur une dizaine d’années. Pour en rajouter, la plus grosse mine d’or au Québec, celle d’Osisko, créera «800 emplois pendant la phase de construction, 465 pendant l’exploitation de la mine»*(4)nous pouvons donc observer qu’une ville, à ce moment-là, dépend totalement de la mine qui s’y trouve. Ce sont la quantité