Au-dessous d'elle, nous pouvons observer que la jambe (le jambe) déforme de l'autre femme qui rampe (traîne) et torsiona son corps vers la lampe (lampe à pétrole) qu'une autre femme porte. Elle semble être blessée et s'approche du cheval pour se reposer de ses blessures. Le genou se maintient de la main et essaie de freiner inutilement (stopper) une hémorragie. Il(elle) regarde vers la lampe, comme si la lumière était un guide pour échapper.

Une femme porte une lampe et illumine la scène. Il(elle) avance avec le regard perdu (il regard perdu). Il est possible qu'il(elle) représente la République Espagnole épouvantée (horrifiée) par la tragédie. Cependant, la lumière qu'il(elle) porte peut symboliser l'espérance et la résistance à l'ennemi.

Le cheval occupe le centre de la composition. Son corps est vers la droite, mais sa tête, ainsi que celle-là du taureau, se retourne vers la gauche. Il(elle) semble agonisant, sur le point de tomber (le sud il point de tomber). Dans son côté (ils(elles) sont flanc) on ouvre une blessure (il(elle) unit blessure) vertical et est, de plus, traversé d'une lance. Il(elle) a la tête levée et la bouche ouverte, d'où la langue, terminée dans une pointe ressort. Peut-être herrido représente le peuple espagnol à une mort par le facismo.

Un oeil - ampoule est au centre de la scène et la domine mais sans l'illuminer. Nous avons l'impression de ce qu'il(elle) peut représenter les bombes. Peut-être symbolise aussi l'avance(la progression) scientifique et électronique qui représente une forme d'avance(progression) sociale mais en même temps une forme de destruction massive dans les guerres modernes.

Un guerrier mort. En réalité, seulement apparaissent les restes de la tête, de bras complet ou d'avant-bras droit et d'avant-bras gauche, comme une statue brisée. Un bras a la main étendue. L'autre bras soutient une épée brisée. Il est possible qu'il(elle) symbolise la valeur des républicains qui ont lutté jusqu'à la mort et