Les sociologues définissent une génération comme rassemblant des individus d’une même tranche d’âge, ayant une même idéologie, comme les hippies de la photographie du dossier étudié, et ayant vécu un même évènement historique marquant.
Ma génération, communément appelée la génération Y, désigne les personnes nées entre 1978 et 1995. Ce sont les enfants et jeunes adultes d’aujourd’hui, issus des baby-boomers.
Alors comment la définir ? Bien que ce ne soit pas seulement une génération mais aussi une véritable culture, la génération Y peut être qualifiée de jeunesse « gâtée ».

Comme toute génération, elle s’est construite en fonction des apports culturels reçus. Elle a grandi devant la télévision et a vu l’arrivée en masse des séries d’animations japonaises. Elle écoute de la musique électronique, regarde des séries américaines. C’est la génération de South Park : on peut rire de tout et en abondance.
La génération Y est branchée, pas dans le sens ou l’entendaient les X mais parce qu’elle est sans cesse branchée, connectée, en ligne … En effet les Y ont grandi en même temps que les avancées technologiques et sont très à l’aise avec les technologies de l’information. Ils entretiennent des relations informelles avec différents cercles de connaissances via les réseaux sociaux tels que Twitter ou Facebook. La génération sms trouve normal de détenir un ordinateur, un téléphone portable ou un mp3 et se divertit avec des jeux vidéo ou en surfant sur le net. Avec tous ces outils, il n’est pas étonnant que ce soient des multitâches. Les nouveaux métiers que ces technologies ont apportés (graphiste, webmaster, webdesigner …), ont permis aux Y d’utiliser leurs compétences technologiques dans leur vie professionnelle.
En partie grâce à cette technologie, les Y ont une ouverture sur le monde plus importante que leurs parents. Il est rare de rencontrer un individu de cette génération n’étant pas parti à l’étranger. Un grand nombre de possibilités s’offre aux Y pour